1940, le 1er circuit imprimé

Le premier circuit imprimé est crée est 1940. C’est un élément essentiel car il est utilisé dans presque tous les appareils électroniques
(même dans les appareils électroménagers et les micro-ordinateurs). Ce support se présente sous la forme d’une plaque de matière isolante et
assure la liaison électrique entre les différents composants électroniques soudés sur des pistes conductrices en cuivre. C’est une plaque
d’environ un millimètre d’épaisseur destinée à regrouper des composants électroniques pour réaliser un système plus complexe. Cette plaque
est en matériaux composites (bakélite ou résine époxy) et, est doublée
d’une fine couche de cuivre permettant de réaliser des circuits
électriques à la demande. On peut y implanter différents composants électroniques (diodes, résistances,
, transistors) grâce à une brasure
(soudure à l’étain). Ce type de circuit est dit « monocouche ». Aujourd’hui, on peut compter jusqu’à
quatorze couches
(les cartes mères des
ordinateurs classiques peuvent posséder six couches, voire plus).

Son invention est attribuée à Robert Kapp (1894-1965), un précurseur dans le domaine de l’électronique; C’est notamment lui qui fonda une
société d’appareils de TSF (transmission sans fil). Avant l’invention de Kapp, les appareils électroniques étaient essentiellement
constitués de lampes reliées entre elles par des fils, ce qui était très volumineux et nécessitait un travail manuel important.
A partir de 1940, les liaisons par fils ont été progressivement remplacées par des circuits imprimés. Les circuits imprimés ont ensuite
permis l’invention de circuit intégré ou « puce électronique ».

Ci-dessous, un circuit imprimé basique :

Malo Bailleul, Charlélie Milcent, TS3, Mr Jammet